La vidéo surveillance sur Istres ?
Cela peut être un bel outil mais tout reste à savoir quel usage on en fera à terme.
Et puis pourquoi ne surveiller que le centre ville ?
La délinquance, les vols, la maltraitance sévit dans tous les coins d’Istres, à le faire faudrait le faire dans tous les coins et recoins de la ville.
Définition de la vidéosurveillance source Wikipédia :
La vidéosurveillance consiste à placer des caméras de surveillance dans un lieu public ou privé pour visualiser et/ou enregistrer en un endroit centralisé tous les flux de personnes au sein d'un lieu ouvert au public pour surveiller les allées et venues, prévenir les vols, agressions, fraudes et gérer les incidents et mouvement de foule.
Au début des années 2000, les caméras font leur apparition en nombre important dans de nombreuses villes européennes. Londres est réputée comme étant la ville où la vidéosurveillance est la plus importante.
L'utilisation de la vidéosurveillance fait débat en matière de sécurité et de
respect de la vie privée.
Mais n’y a t-il pas un risque de dérapage et
qu’on surveillerait plutôt les aller et venus des uns et des autres. Les
opposants à la vidéo surveillance font remarquer que les personnes subissent
une atteinte à la vie privée, et que la vidéosurveillance a un impact sur les
libertés publiques. Ils clament aussi que les caméras de surveillance ne font
que déplacer la délinquance vers les zones non-équipées, plutôt que de réduire
le crime.
En
France : La vidéosurveillance obéit à un cadre réglementaire très précis.
Tous les lieux ouverts au public (restaurants, magasins, pharmacies…) souhaitant
s'équiper d'un dispositif de vidéo surveillance doivent au préalable faire une
demande en préfecture. Le public doit être avertit par un panonceau répondant à
des critères bien précis de l'existence d'un système de vidéosurveillance. Le
personnel doit également être informé de l'installation et le dispositif doit
être présenté au comité d'entreprise s'il y en a un. Dans les lieux qui ne sont
pas ouverts au public on sort alors du domaine de compétence des préfectures
pour rentrer dans celui de la Commission Nationale de l'Informatique et des Libertés (CNIL).